Après le triomphe de
Kiss & Cry mélangeant cinéma, danse, musique et bricolage de génie, Michèle Anne De Mey, Jaco van Dormael et Thomas Gunzig ont réussi le pari, un peu fou et risqué, de donner vie à une deuxième création. Pas une suite, pas un épilogue mais un autre voyage singulier... et la magie opère toujours ! Un spectacle accueilli triomphalement à sa création et tout au long de sa tournée !
https://vimeo.com/156238017
“Il fait noir.
Vous entendez une voix.
Cette voix va compter jusqu’à 3 et à 3 vous dormirez.
1, 2, 3.”
C’est la voix de Jaco Van Dormael qui s’élève, douce et forte, dans le noir de la salle et qui vous emmène dans un voyage hypnotique, dans un rêve. Un rêve différent de
Kiss & Cry qui parlait des débuts alors que Cold Blood évoque plutôt la fin. “Quelle est la dernière image que l’on voit quand on s’en va ? ” Incidents, accidents, hasards, aléas de sept vies qui se déplient, de sept histoires, tendres et drôles, douces, grandes et élégantes du “moment où”...
Toujours du bout des doigts et suivant l’idée géniale de tourner un film sous vos yeux et d’en projeter, immédiatement, sur grand écran, le résultat merveilleux, vous voilà entraînés dans des nano-univers, entre rêve et réalité. Où l’on fait des claquettes sur Fred Astaire avec des dés à coudre, du pole dance érotique sur un air de Janis Japlin, où deux doigts et deux mains font superbement revivre l’interprétation de Jorge Donn du Boléro de Ravel, version Béjart...
Dans cette succession de chorégraphies, de moments de poésie pure, d’échappées belles, le texte, tendre, décalé, drôle, de Thomas Gunzig se faufile entre les histoires et les relie, superbe fil conducteur empli d’onirisme.
“Il fait noir.
Vous entendez une voix.
Cette voix va compter jusqu’à 3 et à 3 vous vous réveillerez.
1, 2, 3. Vous êtes vivants”.
Ecouter en +
Un spectacle qui vous est présenté en partenariat avec