La plupart des crises actuelles ont une dimension planétaire et toutes réclament des solutions globales, supranationales. La destruction accélérée de l’environnement, l’effondrement de la biodiversité et le réchauffement climatique annoncent des déséquilibres écosystémiques qui pourraient renforcer les inégalités sociales actuelles, accentuer les injustices, mettre en mouvement les peuples impactés et finalement remettre en cause nos modes de fonctionnement démocratique. Pourtant un début de conscience globale n’est-il pas en train de naître chez beaucoup de jeunes ? La 1ere grève mondiale (climat) -toutes causes confondues- en est-elle le signe ? Pourquoi le politique n’y répond-t-il pas ? Les forces du marché ont-elles seules le droit d’être globales et supranationales ? La souveraineté des états-nations va-t-elle détruire notre biosphère ? Les peuples ont-ils droit au chapitre ?
Alain Paquet travaille au département études de Natagora, chargé de mission monitoring de la biodiversité. Il milite pour la création d’une Assemblée Parlementaire aux Nations-Unies (UNPA Campaign).
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Ouverture des portes 10h
Tarif unique 5€
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